STORY.


 

Préambule.

Je fais partie de ces “quadras” qui ont eu leur libido émoustillée dans les années 70, par tous ces cirés que l’on croisait à chaque coin de rue, portés par des filles plus jolies les unes que les autres.

J’ai eu la chance de pouvoir en offrir plusieurs à ma femme : un long ciré blanc qui lui arrivait aux chevilles, et dont on pouvait “zipper” la partie basse et le ramener à la taille d’un manteau normal, puis un bleu marine, avec une fermeture éclair sur le côté, et enfin en superbe bleu turquoise, avec une coupée élégante et des boutons blancs.

Ensuite, la mode est passée, les cirés en général ont disparu, ceux de ma femme également. Puis, il y a quelques années, j’en ai retrouvé un petit noir avec ceinture, que je lui ai acheté, et tout dernièrement, un superbe rouge brillant avec fermeture éclair.

Mais j’ai toujours le fantasme d’un superbe ciré noir laqué, entrevu trop rapidement dans une galerie marchande. Il était magnifique. Je suis retourné sur mes pas, mais le ciré et la femme avaient disparu. C’est ce ciré qui m’a inspiré le petit texte ci-dessous.

 

A P. 

Imagine.
Je t'ai demandé de venir chez moi, spécialement habillée : vinyle et dentelle de rigueur. Tu as accepté.
Tu sonnes à la porte, je t'ouvre. Superbe, tu es superbe : un magnifique ciré noir d'une élégante coupe cintrée, un double boutonnage croisé, fermé jusqu'au cou. Un petit chapeau en vinyle complète la tenue. Le ciré laqué t'arrive aux genoux. Une paire de belles bottes vernies noires à talon aiguille complète ta tenue. Bottes ou ... ? Surprise.
Je te baise la main. Des mitaines en dentelle noire découvrent le bout de tes doigts aux longs ongles rouges.

Je te laisse seule quelques minutes. Quand je te retrouve, je suis nu, à l'exception de mon slip. Je m'approche de toi par derrière, je me colle à ton dos et je t'enlace. Le froid de ton ciré laqué me fait frissonner de bonheur (il me fait bander aussi). Tandis que je t'embrasse dans le cou, ta main droite part à la découverte de mon sexe et le caresse à travers le slip. Le ciré "craque" comme je l'aime à chacun de tes mouvements.
De mon côté, ma main gauche caresse ta poitrine par dessus le ciré. je sens sous mes doigts une poitrine ferme et haut plantée. Puis ma main s'aventure sous le ciré, effleurant la peau douce d'un sein, trouvant le contour d'un balconnet, agaçant la pointe d'un sein qui ne demande qu'à s'évader de sa prison de dentelle.
Ma main descend plus bas, trouvant à nouveau un fin tissu. Donc, tu porte une guêpière comme je te l’avais demandé ; à moins qu'il ne s'agisse d'un corset... Ma main descend encore, arrivant sur la peau douce de ton ventre, trouvant ensuite le slip. Je caresse ton sexe à travers le fin rempart de nylon.
Tu m'excites. Nous nous asseyons sur le lit. Je t'embrasse tout en te caressant. Cette fois, ma main se pose sur ta jambe, sur le ciré brillant. Puis passe sous le ciré. Bonheur ! Je trouve un genou gainé de vinyle. Tu as donc pu réalisé mon fantasme : ce ne sont pas des bottes que tu portes, mais des cuissardes. Merci !
Je remonte lentement le long de la cuissarde vernie, longuement, très longuement, tant celle-ci remonte haut sur ta cuisse. Enfin, je trouve le nylon d'un bas, puis le serpent d'une jarretelle. Je la suis, caressant la peau soyeuse de ta cuisse, pour arriver enfin à ton trésor intime protégé par le slip.
Je n'y tiens plus. Je te renverse sur le lit, et je déboutonne ton ciré laqué. Tu m'apparais enfin dans ta splendeur : ton corps superbe enchâssé dans une guêpière de dentelle noire, deux seins ronds et fermes mis en valeur par le balconnet, une taille fine, un ventre plat, et ton pubis à peine protégé par le nylon noir d'un string. Les jarretelles de la guêpière retiennent des bas nylon que l'on distingue à peine, tellement les cuissardes vernies montent haut sur tes cuisses. Comme le ciré, les cuissardes craquent à chacun de tes mouvements.
Je te baise les pieds pour commencer, puis je remonte lentement le long des cuissardes brillantes. Je m'attarde sur tes genoux, avant de prolonger mon "escalade" le long de tes cuisses, embrassant le vinyle qui les recouvre.
Ma main caresse à nouveau ton sexe à travers le slip, puis s'aventure enfin dessous, prenant possession de ton ventre. Ton clitoris roule sous mes doigts, tandis que ta main prend possession de mon membre qui durcit rapidement à son contact. Je m'aventure plus avant dans ton ventre... Tu gémis de plaisir, aurais-je atteint ton point G ?
Je m'attaque à ta poitrine, faisant jaillir les seins du balconnet, les caressant, les embrassant, les malaxant. Les pointes se dressent fièrement vers le ciel, tandis que tu m'embrasse fiévreusement.
Enfin, je fais glisser le string le long des cuissardes vernies, et après un nouvel hommage à ton clitoris, je prends possession de ton ventre, doucement, délicatement, profondément. Tu refermes tes cuissardes sur mon dos, et nous faisons l'amour passionnément dans ton ciré noir.
Fin... de mon rêve. Imagine...

H.